Dieu a comblé mon vide intérieur

Dernière mise à jour: 14 août 2023

Dieu a comblé le vide en moi

Témoignage de Kenny

En 1996, j’ai quitté Maurice, mon île natale, en quête d’une vie meilleure. Ce que j’ignorais, c’est que j’allais trouver bien plus grand que mon rêve! Voici mon histoire.

Mon histoire

En 1996, j’ai quitté Maurice, mon île natale, en quête d’une vie meilleure. Ce que j’ignorais, c’est que j’allais trouver bien plus grand que mon rêve! Voici mon histoire.
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Je suis né dans un village de quelque sept cents habitants, nommé Bonne-Mère, où tout le monde se connaissait. J’ai grandi dans une famille tamoule de religion hindoue. Pas très croyant, je suivais les nombreux rites de manière traditionnelle, pour plaire aux dieux et avoir la conscience tranquille. Durant les périodes de privation et de jeûne, je me sentais bien, mieux qu’à d’autres moments.

Mon objectif d’alors: améliorer le quotidien des gens

J’espérais aussi que les dieux allaient remplir le vide que je ressentais à l’intérieur de moi, tout en ne sachant pas vraiment ce que je cherchais… J’éprouvais de la joie à aider les gens, notamment grâce à mon métier de technicien-électronicien qui me permettait de les dépanner, mais je voulais faire plus, spécialement pour améliorer le quotidien des pauvres et des personnes marginalisées. J’avais de la compassion pour les autres, mais moi-même j’étais vide!

J’avais tout pour être heureux, et pourtant…

J’essayais peut-être de combler ce manque par l’amour que les gens me manifestaient chaque fois que je les secourais? En tous cas, je ne réussissais pas à me dépanner! Dans mon désespoir, j’ai tenté de m’évader de ma réalité intérieure de plus en plus insupportable, en me noyant dans l’alcool tous les week-ends, avec les excès qui en découlent. Pourtant, objectivement, j’avais tout pour être heureux: une carrière prometteuse, une famille, des amis… mais à mes yeux, ma vie n’avait aucun sens.

Où trouver le bonheur?

A 27 ans, j’ai décidé de partir chercher le bonheur ailleurs… et je suis arrivé dans la ville cosmopolite de Londres. Et là, en l’espace de trois mois, tout a basculé.

Le point de bascule

Le vide au fond de moi ne me quittait plus et je le ressentais d’autant plus que j’étais bien loin des miens, dans cette capitale de plus de 7 millions d’habitants. Je traversais un moment extrêmement sombre de mon histoire, sans voir d’issue.

Une chose me semblait de plus en plus claire: je ne pouvais compter ni sur moi-même ni sur les autres pour trouver la paix. Elle devait venir d’ailleurs. Mais comme j’avais déjà essayé du côté des dieux et que ça n’avait rien donné, je me demandais où je pouvais bien me tourner ! Je devais à tout prix parler avec quelqu’un de ce que je vivais…

Un flyer qui me va droit au coeur

A ce moment-là, je découvre dans ma boîte aux lettres un flyer avec le titre: «Une oreille pour t’écouter». Exactement ce dont j’avais besoin. J’étais si désespéré que je suis parti sans lire les informations concernant les horaires. C’était à 5 minutes à pied de chez moi; quand je suis arrivé sur place, bien sûr, c’était fermé.

En route?

Mais heureusement pour moi, Pauline, la responsable de ce lieu, était justement venue chercher des affaires. J’ai insisté pour qu’elle m’accorde du temps, ce qu’elle a accepté. Je lui ai dit combien je regrettais les bêtises que j’avais commises et que je voulais démarrer une autre vie. Elle m’a écouté attentivement, puis elle m’a dit que je ne pouvais pas changer mon passé, mais le présent, si!

Découverte de l’Evangile

Pauline m’a raconté

l’amour de Dieu pour l’humanité et Son désir: réconcilier les hommes avec Lui.

Vu que l’être humain, depuis la fracture qui a eu lieu au début de l’humanité, s’avère fondamentalement mauvais parce qu’il est entaché par le péché (la partie tellement ténébreuse en nous), Dieu a dû se donner Lui-même, en Son Fils Jésus, pour nous racheter de nos fautes. Si nous comprenons et acceptons ce que Dieu a fait pour nous en mourant sur la croix, nous pouvons être pardonnés et donc être en paix avec Lui.

Que vais-je faire de l’Evangile?

​Alors là, j’étais ébahi. C’était tellement différent de tout ce que j’avais entendu et compris jusque-là! Ma religion m’avait enseigné à obéir pour être accepté des dieux. Mais là, j’ai saisi que c’était l’inverse:

j’étais accepté par un Dieu qui m’aimait déjà!

Du coup, j’ai eu envie de me soumettre à un tel Dieu! J’ai pris la mesure de la Bonne Nouvelle qu’est l’Evangile!

A ce moment-là, j’ai compris que l’œuvre de Jésus à la croix nous console dans nos souffrances, car Il a connu la souffrance. J’ai saisi que Sa résurrection nous offre l’espérance et la certitude de notre propre résurrection, donc d’une vie meilleure, sans larmes. Maintenant, j’avais une conviction profonde, celle de la Vie après la mort… au lieu d’un grand vide!

A l’aube de mon aventure avec Jésus

Ce message me rejoignait parfaitement dans ma situation, il avait du sens et j’avais envie de le vivre. Quelque chose de bouleversant s’est donc passé ce jour-là pour moi. Pauline m’a invité à prier: j’ai présenté mes fautes à Jésus, je Lui ai demandé pardon afin qu’Il puisse me pardonner et me conduire dans la vérité.

Pauline m’a offert une Bible et m’a invité à revenir. L’aventure avec Jésus venait de commencer… et ça fait maintenant plus de deux décennies que ça dure!

J’ai trouvé un sens à ma vie

Je sais d’où je viens, dans le sens que Dieu est mon Père, qu’Il m’a créé pour vivre une relation avec Lui.

Je sais pourquoi je suis sur terre: pour qu’à mon contact, comme l’a fait Pauline avec moi, d’autres connaissent Dieu au travers de ce que dit la Bible et qu’ils puissent Le voir au travers de ce que je suis et ce que je deviens grâce au Saint-Esprit qui opère en moi. Bien sûr, il m’arrive encore de Le décevoir par mes comportements et j’en suis triste, mais je sais qu’Il me pardonne. Ma relation avec Lui ne dépend pas de ce que je fais ou ne fais pas, mais de ce que Jésus a fait. Et c’est à travers l’œuvre de Son Fils que Dieu le Père me regarde et peut ainsi me déclarer juste. De plus,
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Je sais où je vais: j’ai l’espérance d’une vie avec Dieu pour l’éternité, où Il essuiera toute larme, où il n’y aura plus ni mort ni tristesse ni souffrance… comme on peut le lire dans le dernier livre de la Bible:

«Il essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus, et il n’y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur» (Apoc. 21:4).

Dieu a comblé le vide en moi

​Et maintenant, plus que jamais, j’ai toujours de la compassion pour les gens, mais je me sens et me sais équipé pour les aider véritablement. Je ne peux pas les dépanner, mais je peux les conduire vers le plus grand Dépanneur de tous les temps: Jésus!

Voulez-vous combler votre vide intérieur et trouver un sens à votre vie?

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Et vous, voulez-vous trouver un sens à votre vie?
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On ne le découvre pas dans une religion, quelle qu’elle soit, mais dans une relation à Jésus qui nous dit qu’Il est la lumière, la résurrection, la vérité, le chemin et la vie.
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Contrairement aux religions en général, Jésus ne nous dit pas quelles sont les étapes à suivre ni quelle montagne gravir… Il nous dit simplement que c’est Lui LE Chemin! Tenter de remplir son vide intérieur par autre chose que Dieu Lui-même ne procurera jamais la paix, la vraie, celle que seul Jésus donne, comme Il le déclare Lui-même (Jean 14).
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Saint-Augustin a écrit:

«Ô mon Dieu, vous nous avez créés pour vous, et notre cœur est toujours agité de trouble et d’inquiétude jusqu’à ce qu’il trouve son repos en vous.»
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Blaise Pascal a repris cette idée en disant:

«Il y eut autrefois dans l’homme un véritable bonheur, dont il ne lui reste maintenant que la marque et la trace vide qu’il essaie de remplir inutilement avec tout ce qui l’environne, recherchant dans les choses absentes le secours qu’il n’obtient pas dans les présentes. Or, toutes sont inadéquates, parce que ce gouffre ne peut être rempli que par un objet infini et immuable, c’est-à-dire Dieu même.»

Dieu peut combler votre vide intérieur.
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Laisserez-vous Jésus remplir votre gouffre infini?
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Kenny